Des centaines d’études réalisées, plusieurs traitements disponibles… Ailleurs! Pourquoi le silence est le mot d’ordre pour tant de travailleurs de la santé?
Pour plusieurs d’entre nous c’est une dure réalité que d’accepter que certains de nos médecins n’ont considéré QUE les avis officiels de nos gouvernements. Nous avons été forcés de nous rendre à l’évidence : des professionels de la santé que nous avons contribué à former se sont transformés en perroquets de nos chers politiciens, qui eux, ne sont pourtant pas médecins. Ils ont tout simplement arrêté de se servir de leur liberté de jugement critique, capacité de diagnostiquer ou de traiter avec les traitements ayant les meilleures chances de succès pour chaque patient pour favoriser l’aproche ”one-size-fits-all” poussée par nos nouveaux experts médicaux, les gouvernements.
Je n’avance pas qu’ils étaient tous d’accord, simplement que la grande majorité ont tout simplement choisi de ne pas engager le combat pour leurs droits de soigner – leur liberté de traiter leurs patients avec les médications de leur choix sans l’influance de l’état… Ils se sont simplement conformés et n’ont pas prescrit de médications pourtant approuvées depuis des années. Pour les quelques uns qui ont OSÉ défier le système et ont traité leurs patients avec des solutions et médications parfaitement acceptables dans plusieurs pays, on les a fait taire ou poussé à la retraite à coup de misères et de sanctions imposées par le collège des médecins. Écoeurés, plusieurs ont quitté.
Je ne suis pas sans comprendre que plusieurs ont des obligations envers leurs familles, leurs employes, se demandent comment ils prendront soins d’eux et paieront les salaires de leur dévoué staff si leur licence est suspendue. Je peux comprendre, mais j’espère qu’on comprendra également que ce manque de conviction est difficile à pardonner sachant le mal que cet attitude à créé.
La réalité est que si les médecins et intervenants de la santé étaient demeurés solidaires, alertes et éthiques les Canadiens auraient eu accès à des traitements rapides depuis déjà des mois.
Effectivement, dans certains pays, c’est pratiquement terminé cette crise sanitaire. Les médecins ont traité avec des molécules libres de brevet qui ne coûtent pratiquement rien, et qui pour certaines, sont utilisés depuis plus de 75 ans… Plusieurs pays ont même pris l’approche de rendre disponible à tous la médication de façon préventive, certains autres ont distribué au moment du diagnostic. Ici, même en parler était censuré et tabou, on ”attendait le vaccin” pour entrevoir reprendre une vie normale… malheureusement plusieurs de ces médications sont toujours impossible d’accès au Canada et la vaste majorité de nos médecins ne prescrivent toujours pas ces médicaments par crainte de représailles.
Pour les courageux ayant osé prescrire et prendre position pour une chose aussi anodine qu’une dérogation médicale pour le port du masque à un enfant avec des besoin spéciaux, par exemple, de sévères conséquences les attendait. Ce fut le cas d’un médecin du Québec, suspendu 6 mois suite à une plainte de la commission scolaire pour le cas d’un enfant ayant reçu une de ces dérogations.
Relisons ceci ensemble une autre fois : le collège des médecins a suspendu la licence d’un médecin pour avoir donné une exemption de masque à un enfant qui a des besoins spéciaux suite à une plainte de la commission scolaire – qui n’a aucune compétence médicale je le rappelle… Le professionnel de la santé concerné à pris cette affront, son 6 mois, et n’est pas revenu au bout de ce 6 mois. Ceci met une pression supplémentaire sur tous les collègues de ce professionnel de la santé qui doivent depuis ce jour composer avec une ressource de moins et une charge de travail supplémentaire.
Elle n’est pas revenue cette professionnelle de la santé, mais cette suspension a servi de muselière aux autres qui auraient pu avoir envie eux aussi de pratiquer la médecine d’avant pandémie dans ce département. Vous savez, cette médecine d’un passé lointain, quand les médecins avaient toujours la liberté de traiter les patients avec leur jugement et toute médication qu’ils croyaient adéquate pour le patient qu’ils avaient devant eux.
Quelque chose s’est brisé dans la chaîne, certaines médications ne peuvent être prescrites et/ou librement obtenues encore à ce jour au Canada, l’avis de votre médecin ne suffit plus.
Un hôpital de l’ouest Canadien est même allé jusqu’à enlever des mains d’un patient une pompe ”non autorisée pour soigner la covid” après avoir réassigné hors de l’hôpital le médecin supléant qui avait sauvé 4/5 des patients auxquels ont prédisait une mort certaine avant son arrivé. Pourquoi? sous ordres de qui? nous sommes en droit de nous questionner.
On ne peut donner une pompe qui l’aide à un patient, mais nous pouvons sans problème vacciner des femmes enceinte avec une seringue dont le contenu n’est même pas entièrement dévoilé et dont les effets à long terme et sur le fétus sont inconnus. On peut vacciner ces futures mamans, mais on ne peut par la suite faire mention de la soixantaine de bébés morts nés de mamans double vaccinées entre janvier et juin l’an dernier pour un seul hôpital en Ontario. La moyenne annuelle était de 5 les années précédentes, rien à voir, vous diront les médias… En fait, même pas, ils ne vous diront rien dutout et c’est bien une partie du problème.
Au début de cette crise, nous avons vu des gens âgés et sans défence morts de faim, de soif. La somme de toute une vie dont la conclusion est une mort seul, isolés de leur proches, regardant la porte, priant qu’un humain la passe et leur apporte un peu d’eau, de soins ou de réconfort, se demandant peut-être dans la confusion combien de jour s’étaient levés et couchés depuis qu’ils avaient été laissé à eux même et ce qu’ils avaient bien pu faire pour mériter ça. Peut-être y a t-il lieu de se questionner : si les fonctionnaires de notre système pouvaient laisser ceci arriver et se dégager des responsabilité, est-il raisonnable de les laisser décider du reste?
Cette crise est gérée depuis le début par des médecins d’estrades n’ayant jamais vu de patients de leur vie, des doctorants en science sociale, science politique, etc.
Ces bureaucrates sont loin de la réalité d’une salle d’urgence, ils sont également à des années lumières de comprendre les besoins et réalités des travailleurs sur le terrain.
Peut-être que la première étape pour rétablir la confiance est de permettre à nos travailleurs de la santé de s’exprimer sans réprimandes. Par la suite, nous pourrions aussi les laisser traiter tous les patients de façon égale sans égard à leur statut vaccinal.. On pourrait par la suite, si on voulait vraiment régler les choses prendre les avenues et solutions proposés par des gens qui sont sur le terrain, qui connaissent la réalité actuelle du système et ses limitations…
Peut-être qu’il est également temps d’accepter de prescrire ce qui est prescrit si librement en Inde, au Mexique, au Japon au lieu d’adopter et de tenter de pousser dans la gorge de tous sans exception la solution unique de nos bons gouvernements.